Echanger de la bienveillance

Le paradis c’est les autres

Echanger de la bienveillance
Il y a des endroits où les relations font bon vivre. Certains de mes réseaux sont réellement nourrissants et j’ai à cœur d’y prendre ma place, d’y offrir le meilleur de moi.
Quand nous cherchons à vivre notre vie en la menant rondement, nous devons parfois choisir de faire le deuil des relations qui nous entravent, c’est à dire : les relations dans lesquelles nos besoins ou aspirations profondes ne peuvent se vivre.
Par exemple, je peux choisir de quitter une relation qui ne me nourrit plus, une relation dans laquelle le partage de ce qui compte vraiment pour moi n’existe plus soit parce que j’ai évolué, soit parce que l’autre a évolué dans une direction qui ne me correspond plus ou qui ne lui correspond plus.
Se connaître, connaître ses élans profonds pour voir avec qui on les partage dans son entourage, ou décider de s’offrir un entourage vitalisant implique un travail de connaissance de soi essentiel à une vie en conscience.
Choisir de vivre en conscience, c’est choisir de sélectionner ce qui est important à partager et avec qui.
Choisir de me nourrir de relations vitalisantes parce que j’ai évolué, et préférer être entouréede personnes qui me correspondent, implique de laisser partir les relations qui me nourrissent moins. C’est un deuil à faire de ce qui a été, d’une part de moi qui a été nourrie par une relation et qui ne l’est plus.
Les rencontres nous offrent des possibles, et la conscience de qui nous sommes nous fait les choisir.
Quand nous réussissons à choisir de nous entourer de personnes qui nous correspondent, nous nous rendons compte que le paradis c’est les autres. Les autres deviennent ma force et mon soutien. C’est grace à eux que je me connais mieux et que je peux choisir plus en conscience.

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